tag:blogger.com,1999:blog-16214521277751336002024-02-06T20:56:03.153-08:00photomatosMon matériel photo, <br />par <a href="http://le-plume.blogspot.com">le Plume</a>.Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.comBlogger39125tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-77624315190251350652009-05-08T07:00:00.000-07:002009-05-08T08:17:36.111-07:00Fuji Pro 400H (format 120)<p>Jusqu'ici, je ne faisais que du noir et blanc au format 120 (<a href="http://photomatos.blogspot.com/2009/02/ilford-fp4-120.html">Ilford FP4+</a> et <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/04/ilford-hp5-120.html">HP5+</a>, Fuji Neopan 400). Il faut dire que les rouleaux 120 couleur sont généralement vendus par cinq, ce qui au cas où ça ne donne rien serait un peu vexant.</p>
<p>Il faut dire que, des trois appareils que j'ai sous la main à ce format, deux sont franchement anciens (le Voigtlander et le Semflex) ; j'avoue ne pas être très sûr du comportement chromatique de leurs optiques. Rappelons que, sans traitement de surface approprié des lentilles, leur propriétés sont légèrement différentes suivant les longueurs d'ondes, ce qui induit des aberrations chromatiques pas forcément plaisantes à l'œil. Le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/09/yashicamat-124g.html">YashicaMat</a> était celui des trois qui m'inquiétait le moins de ce point de vue ; c'est donc avec lui que j'ai fais l'essai. Et je suis plutôt content du résultat.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/jk075h4VA658vGQResqb6Q?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEXkHLeH6ikZCdjeaEd-5t84M4JnypR-oWq3VPurvl9f7ViUyy3xVd6Gic4mD3YErOnWWSL53LaPzfOeJp08YsaqahA8_M2xWYaeogk01-G1SGM4Z1v4GntmTnXAlBklUkdpK2BS5V7R0/s400/fuji_pro400h_120.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : film inversible couleur</li>
<li>Fabricant : Fujifilm</li>
<li>Type : Pro 400H</li>
<li>Sensibilité nominale : ISO 400/27°</li>
<li>Format : rouleau 120 (existe également au <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/10/fuji-pro-400h.html">format 135</a>, etc.)</li>
</ul>
<p>Un des avantages de ce film : il est très tolérant aux écarts d'exposition, ce qui, lorsqu'on calcule son exposition avec une cellule à main hors d'âge, est assez précieux. Et puis les couleurs sont nuancées comme toujours avec le Pro400H : plus dynamiques qu'on le crois quand le soleil brille, douces en lumière plus faible.</p>
<p>J'en ai racheté aussitôt les tirages de mon premier rouleau compulsé. Par paquet de cinq.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-45656539477217034972009-05-01T04:17:00.000-07:002009-05-06T06:15:24.715-07:00Flash Pentax AF330FTZ<p>Un flash Pentax détone un peu dans ma panoplie (des modèles de la série T, comme le flash <a href="http://photomatos.blogspot.com/2009/03/flash-pentax-af200t.html">AF200T</a> dont je vous avais déjà parlé) : le Pentax AF330FTZ.</p>
<p>Les <a href="http://kmp.bdimitrov.de/technology/flash_names.html">nomenclature</a> des flash Pentax est en effet assez explicite : le nombre donne la puissance (330 signifie nombre-guide=33m) et les lettres qui suivent donnent les capacités. T signifie un flash pouvant adapter sa puissance par le système TTL (capteur interne à l'appareil indiquant la quantité de lumière à fournir) ; F signale des flashs adaptant leur puissance en fonction des données d'auto-focus, ce qui suppose un quatrième point dans le connecteur reliant le flash à l'appareil pour la communication de données numériques ; Z, enfin, indique que le flash est capable de zoomer pour adapter sa couverture à la distance où se situe l'objet photographié.</p>
<p>Bref : FTZ désigne un flash étudié pour les dernières générations d'appareils argentiques, comme par exemple mon <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/09/pentax-mz-10.html">Pentax MZ-10</a> (ou le MZ-5n).</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/0FMLwLNATWfE7WJOc1rVYg?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbTfSmXcweIcKkOpoqF-IPR7S-T-Lqw5KkG25_vS6jqfwAaVkZb6PxHfj3YWA8xYsl9D7KSERjHrujBWm56axEpa4Z2T1YTYR4JapCPRXqUtG0IsFWyel_gM81gDiHuSGiqS0CZa25xvA/s288/pentax_af_330ftz_1.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/Ttgx7Kh0bhhT2uvX3iXk3w?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgur8m2PcEbSCSmlHQ49mDmthbwLmZyyBUXoX_KBF7toRp_3icOY6FH9mEPEtrvHxpAlisbA0bMpcM9pUyLK7NkK8A_tp5uJqGKqOt3wvI2neUQgR1S3TX259VV2fGSZvg-YbP1zt6d6KE/s288/pentax_af_330ftz_2.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/X1fjS89yKL6cqGqAWb4WeQ?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3J9hqc7ToSzzOeOC88WcYpCqvxlQunK4ETHDykyGXCm8ymZ4x8evgFGW5rr1YbW8aGcp34BqRIsoDY5SDt0aVJgCYVL-6-McIxcifVOFpVcUXBG_kndAvKN1R-TCB9kCIwQ7SmFqpAU4/s288/pentax_af_330ftz_3.jpg" /></a><br/>Flash AF330FTZ monté sur un boîtier Pentax MZ-5n.</p>
<p>(Au fait : pour avoir les photos en plus grand, il suffit de cliquer dessus, c'est un lien vers la <a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ#">galerie Picasa</a> dédiée à ce blog.)
<p><ul>
<li>Type : flash électronique à mesure TTL uniquement, tête fixe et zoom électronique</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : Pentax AF330FT3</li>
<li>Nombre-guide : 33m à 100ISO</li>
<li>Modes : <ul>
<li>puissance : TTL, auto (deux modes), manuel MH (pleine puissance) ou ML (1/16)</li>
<li>zoom : automatique ou manuel (28/35/50/70/85mm)</li>
<li>autre : synchro premier/deuxième rideau, assistance à l'autofocus</li></ul>
<li>Date d'achat : 2 décembre 2007 (ebay France).</li></ul></p>
Alors, <i>quid</i> de ce flash ?</p> D'abord, il faut savoir que toutes les fonctions avancées (fort attirantes) ne fonctionnent qu'avec des boîtiers récents (type MZ quelque chose) - mais pas avec les réflex numériques, qui ne font pas de TTL mais du P-TTL (série FGZ chez Pentax, cher cher cher plus TVA). Sur les autres, on a donc un flash aux fonctionnalités assez basiques, sans cellule intégrée (je fais généralement plus confiance à la cellule du flash qu'au capteur TTL) et avec une tête fixe. Pas très palpitant.</p>
<p>Noter par ailleurs que le nombre-guide indiqué (c'est à dire la portée maximale pour un film ISO 100 avec une ouverture de f/1) n'est valable que pour le zoom maximal, c'est à dire pour une focale supérieure ou égale à 85mm. En 50mm, on a un nombre-guide de 28, pas franchement impressionnant. Pour traduire ça en français, ça veut dire qu'en zoom maximum, à ISO 400 avec un diaphragme à f/4 on a une portée de 16m. C'est pas mal, mais ce n'est pas avec ça qu'on va faire du documentaire animalier.</p>
<p>Bref, sur tous les appareils Pentax récents, voilà une alternative très convenable au flash intégré. Mais il ne faut pas lui demander de jouer les flashs professionnels.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-32195180664776827552009-03-14T03:52:00.000-07:002009-04-03T23:55:27.723-07:00Flash Pentax AF200T<p>Après des expériences un peu décevantes avec des flashs <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/12/flash-sunpak-888afz.html">Sunpak</a> et <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/08/cobra-d500-dedicated-pro-grip.html">Cobra</a>, j'ai pris une décision : pour les flashs, comme pour les objectifs et les boîtiers, rester fidèle au constructeur. Et donc, du Pentax. J'avais acheté un flash tout automatique (AF330FTZ), mais je voulais plus de contrôle sur ce que je faisais : la série T était donc idéale pour moi. J'ai donc acheté celui-ci sur ebay US, arrivé en quelques jours chez moi, à temps pour les fêtes...</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/fI1gsKC3nFNCLmxqbK5mLw?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-Hd3-O7J1srB7JOU2TMoRHJnX2wb09YQZm1Wvp79B3hZqpeZdjxC4uiOiG4hgHyQrTgeUbjJFMebN4-e_nknXp7j_Hgq1VW_Co1_ATmuKHa_PmNym_8-BsseIUdBLJhAMWEYW79QT3_M/s288/pentax_af_200t_1.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/lnxZCj8dmJJNRI5MOfa-7g?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEheGYZ2kZNUayC5pMpL6xQKNXAwJkz6NttL0ZzQq9-JEbeEAvaFL1aHD0Z4AwQqhoBW4Uk7luwpot3jj9Amroa-S0-oBuz3IZ7cBmOpQmKBG-9uJv2RLVCi2UYHmZtsVJD51JJ6XR4lf_A/s288/pentax_af_200t_2.jpg" /></a>
</p>
<p><ul>
<li>Type : flash électronique à mesure TTL ou autonome, tête fixe</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : Pentax AF200T</li>
<li>Nombre-guide : 20m à 100ISO</li>
<li>Modes : TTL, auto (deux modes), manuel (pleine puissance, 1/2, 1/4 ou 1/8)</li>
<li>Date d'achat : 21 décembre 2007.</li></ul></p>
<p>Ce flash a plusieurs avantages, et un inconvénient. Avantage n°1 : il est tout petit, se glisse aisément dans un fourre-tout photo même si on n'est pas sûr dans avoir besoin. Avantage n°2 : la richesse du mode manuel, qui permet un contrôle fin de la puissance. Son inconvénient : la tête fixe, qui rend difficile de fonctionner en flash indirect - impossible en mode auto, en tout cas, puisqu'on veut dans ce cas que la cellule soit bien allignée avec l'objectif.</p>
<p>la somme de ces avantages et de cet inconvénient : c'est le flash idéal si on veut l'utiliser en remplissage. Rappelons ce dont il s'agit : on veut prendre en photo une scène raisonnablement éclairée, mais dont l'avant-plan risque d'être un peu effacé par l'éclairage de l'arrière-plan. cas typiqeue : du portrait en extérieur, lorsque le sujet ne fait pas face à la lumière.</p>
<p>Dans ce cas, on règle l'ouverture et le temps de pose comme s'il n'y avait pas de flash (en veillant toutefois à ce que la vitesse soit supérieure ou égale à la vitesse de synchro flash du boîtier ; un film rapide risque donc de poser problème). Et on règle le flash de manière à ce que son éclair soit au quart ou à la moitié de la puissance qu'il faudrait s'il s'agissait d'une photo au flash pur. Pour ça, en utilisant un flash à cellule, on peut tout simplement lui faire croire que la sensibilité de la pellicule est deux ou quatre fois plus élevée que ce qu'elle est en réalité ; sinon, il faut jongler avec les ouvertures et le réglage de puissance.</p>
<p>En tout cas, c'est un flash très commode, bien construit, pas trop gourmand en piles qui plus est.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-5281095981247605722009-03-14T03:34:00.000-07:002009-03-14T03:45:49.880-07:00Film Ilford HP5+ (format 135)<p><a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/04/ilford-hp5-120.html">Je vous avais parlé</a> de ce film pour le format 120 ; c'est aussi mon film de prédilection en matière de noir et blanc rapide pour le 24×36.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/IUvy4cL2Y95iei9ozHDl-A?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZxPO0si8ZUI6R-OO3EOJCPup_mSxYhkspDkHQM9JYC8s6Ra3VBRWYoDA3HoY2qunvvlM2LjS7_mVUfCHVs_eSlR3YPYkyYDC5GVTi2awl6UEHl3hHnZ-V-PYS9JaHYqRQMwvZ5QZK3XI/s400/ilford_hp5_135.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : film noir et blanc inversible panchromatique</li>
<li>Fabricant : Harman Ilford</li>
<li>Type : HP5+</li>
<li>Sensibilité nominale : ISO 400/27°</li>
<li>Format : 135 (24×36) ;existe aussi en <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/04/ilford-hp5-120.html">rouleaux 120</a> et en feuilles de différents formats</li>
<li>Dates de production : depuis 1989 (remplace HP5, produit depuis 1976, et HP4, produite depuis 1965).</li>
</ul>
<p>Un film subtil et d'une grande souplesse d'utilisation à sa sensibilité nominala, un peu plus délicat en matière d'exposition lorsqu'il est poussé (je n'ai pas essayé de le pousser au delà de 800, mais on peut pousser d'un EV supplémentaire sans problème, en principe).</p>
<p>Bref : pour le portrait en lumière naturelle, même en intérieur, c'est pile ce qui faut ; j'aime bien aussi pour les photos de machines par exemple.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-64003905918643918362009-03-12T14:54:00.000-07:002009-05-08T07:03:35.143-07:00Film Fuji Superia Reala 100<p>À l'opposé de la <a href="http://photomatos.blogspot.com/2009/02/fuji-pro-800z.html">Pro800Z</a> sur l'échelle des sensibilités : la Fuji Reala 100 - ou Fuji Superia Reala : comme pour la <a href="http://photomatos.blogspot.com/2009/02/fuji-neopan-100-acros.html">Acros 100</a>, nominalement intégrée à la gamme Neopan, Fuji a choisi de commercialiser la Reala 100 comme faisant partie de la gamme grand public Superia. Allez savoir pourquoi.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/fe1aloYGRB3vlFFzS05l8g?authkey=Gv1sRgCLL7u7a5w6X2ZQ&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVhkkkAEOnNWE3k8oGZixGNtx1WUshPI_YPy2F_BlL0O6noS632XFLnjxwyoMQ6KkwOV7Wu1DFZfhutcx8BfUhDA1hWYn0QOXzA2fhRhQZCE2IaRg5vTG2LrhyphenhyphenU86Ss9fIJ42pNTbAco8/s400/fuj_reala100.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : film inversible couleur</li>
<li>Fabricant : Fujifilm</li>
<li>Type : Superia Reala 100</li>
<li>Sensibilité nominale : ISO 100/21°</li>
<li>Format : 135 (24×36)</li>
</ul>
<p>En fait, si, je sais pourquoi : les films dits « professionnels » sont en réalité des films conçus pour le portrait, le dernier retranchement du film négatif chez les photographes professionnels étant la photo de mariage. La Reala 100, avec ses tons très vifs et ses coloris plutôt chauds, ferait facilement passer la mariée pour plus pintée qu'elle ne l'est réellement...</p>
<p>Au fond, c'est une pellicule conçue pour le paysage - précisément le créneau de la gamme Superia. Ceci dit, je trouve cette pellicule beaucoup plus intéressante que les Superia 200 et 400 ; sans doute parce que sa sensibilité permet des effets de profondeur de champ plus parlants. C'est en tout cas, pour moi, la pellicule d'été idéale.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-13766956924863869482009-02-18T14:03:00.000-08:002009-03-13T02:10:29.396-07:00Fuji Pro 800Z<p>Un type de pellicule que j'ai découvert l'an dernier et qui n'est pas du tout sans intérêt : la Pro800Z de chez Fuji. Je l'avais achetée à l'occasion de la naissance de mon fils, avec lequel je souhaitais, au moins dans un premier temps, éviter l'emploi du flash.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/CPv8oiSpZATik1puT4hwLA?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiV5KnDBdeLYSLMtZge9d1sPQ7uFEjuiyLDrzd3U9RrZFuYhtsZiuuusQhkEwDg-L80-AH5VFz8ifwZboVfj8idj1HpinZPnu-yAbnkWTXc1a27O9BULzOWfhV-w1Cy4EBVfRrdDB4tHfg/s400/fuji_pro800z.JPG" /></a></p>
<ul><li>Type : film inversible couleur</li>
<li>Fabricant : Fujifilm</li>
<li>Type : Pro 800Z</li>
<li>Sensibilité nominale : ISO 800/30°</li>
<li>Format : 135 (24×36)</li>
</ul>
<p>C'est un film deux fois plus rapide que la <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/10/fuji-pro-400h.html">Pro400H</a>, comme son nom l'indique ; mais c'est aussi une pellicule aux couleurs nettement plus saturées. Si ce n'est pas ce qu'on cherche, mieux vaut sans doute pousser d'un diaphragme la Pro400H. J'ai découvert ça à l'usage : n'ayant pas lu attentivement l'emballage, je m'attendais naïvement à trouver des teintes voisines. Ceci dit, on n'est pas non plus dans les saturations parfois excessive des Superia 200... Une pellicule très commode à utiliser dans les éclairages faibles, lorsque l'on ne souhaite pas faire de flash mais que l'on veut garder de la vie aux couleurs !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-49296217132781799302009-02-14T05:02:00.000-08:002009-03-13T02:10:46.877-07:00Fuji Neopan 100 Acros<p>Je vous parlais des films <a href="http://photomatos.blogspot.com/2009/02/ilford-fp4-120.html">Ilford FP4+</a>, un film aux tonalités subtiles, mais assez peu contrasté ; la Fuji Acros 100 (ou Neopan 100 Acros) est à peu près à l'opposé du spectre : une pellicule très dynamique, donnant des images contrastées, où le trait tend à l'emporter sur les volumes, mais sans pour autant perdre les nuances de gris.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/-uKNf-oqSU_ub8jcTDqtog?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBuw5PBJ84tSDJZymQArDZYoRZO_xdJg7WLsXRYfVmZfWr2UnnZQ4YPl6RBKPr_0EZXs0Jl_EdqKHSbno3WTY02RvcemhzpDmLP6SF4hv8jNQvcqZULuk5hYy7pPYldUEgJT1tqrfJqdE/s400/fuji_acros100.JPG" /></a></p>
<ul><li>Type : film noir et blanc inversible panchromatique</li>
<li>Fabricant : Fujifilm</li>
<li>Type : Neopan 100 Acros</li>
<li>Sensibilité nominale : ISO 100/21°</li>
<li>Format : 135 (24×36)</li>
<li>Dates de production : depuis 2001.</li>
</ul>
<p>Une chose est claire : la finesse du grain de ce film est exceptionnelle. Ajoutons que, à regarder à la loupe ou à grossir considérablement, ce grain ne donne pas l'impression « grasse », un peu déplaisante de certaines émulsions modernes (type Kodak TMAX ou Ilford Delta).</p>
<p>À en croire certains forums, le côté très contrasté de ce film est dû, plus qu'à ses caractéristiques propres, à une légère exagération de sa sensibilité nominale, qui serait plus du côté de 64 que de 100. Mais la recherche du contraste correspond sans doute aussi au goût actuel...</p>
<p>De toute façon, j'ai pris avec cette pellicule des <a href="http://le-plume.blogspot.com/2008/10/bricolo.html">photos qui ne manquaient pas de richesse</a> au niveau des teintes : dans <a href="http://le-plume.blogspot.com/2008/06/pas-le-boulot-qui-manque.html">le cas contraire</a>, c'est sans doute le photographe plus que la pellicule qu'il faut accuser !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-44145569258512902462009-02-14T03:45:00.000-08:002009-03-14T03:38:24.080-07:00Ilford FP4+ (format 120)<p>La gamme Ilford (ou Harman Ilford, puisque la filiale produisant des pellicules s'est séparée du reste d'Ilford en 2006 pour ne pas avoir à cesser la production de pellicules, justement) de films noirs et blancs se sépare, depuis 1935, en deux branches&nbs;: FP (pour <i>Fine Grain Panchromatic</i>) et HP (<i>Hypersensitive Panchromatic</i>) - à quoi il faut ajouter, plus récemment, la gamme Delta, utilisant un type d'émulsion assez différents.</p>
<p>Chacune de ces deux gammes a connu différentes générations, les sensibilités augmentant avec les progrès de la chimie. La gamme HP, aujourd'hui représentée par la <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/04/ilford-hp5-120.html">HP5+</a>, tend comme son nom l'indique vers une plus grande sensibilité, au risque d'avoir un grain plus gros ; la gamme FP (et donc la FP4+, son incarnation actuelle) vise au contraire à un grain le plus fin possible.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/2Mjd9oPSx5wzdkpjXObT9g?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIZ9kohtBK9erUEicGLvhM-3ifQ1rcLWH1AwUo_qVGH0V5HYwtExTFMto4EtJMP1sPvm0rOBf3gRv8NoiWRAt8S7DqxvhIylY1Ew77XDNqru1r6Wh68TYNtGBkONxgIsse5cV7xqM0gYA/s400/ilford_fp4_120.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : film noir et blanc inversible panchromatique</li>
<li>Fabricant : Harman Ilford</li>
<li>Type : FP4+</li>
<li>Sensibilité nominale : ISO 125/22°</li>
<li>Format : rouleau type 120 (existe aussi en films 135 et en feuilles de différents formats)</li>
<li>Dates de production : depuis 1990 (remplace FP4, produit depuis 1968).</li>
</ul>
<p>Les pellicules à émulsion classique (grain cubique) d'Ilford ont en commun la richesse des gammes de gris ; on peut éventuellement leur reprocher un certain manque de contraste : ce n'est pas du film pour photo coup de poing. j'avais noté ça à l'époque de <a href="http://le-plume.blogspot.com/2008/09/bouts-de-rouleaux-figaro-ci.html">mon premier rouleau FP4</a>, dans les années 1980 ; le passage au FP4+ a sans doute légèrement corrigé le tir.</p>
<p>Ajoutons que la notion de contraste d'une pellicule noir et blanc est quelque chose de relatif : pour une pellicule donnée, on peut augmenter le contraste en la <i>poussant</i> (c'est à dire en la sous-exposant et en la sur-développant) et à l'inverse le diminuer en la <i>retenant</i>. Je ne serais pas surpris que certains labos peu scrupuleux traitent systématiquement la FP4+ à 100ISO, c'est à dire en la retenant légèrement (ça équivaut à une sous-exposition d'1/3 de diaphragme).</p>
<p>En tout cas : une pellicule à recommander si vous cherchez la subtilité des teintes et le rendu des volumes plutôt que la force des traits.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-15787640022314068752009-02-09T12:04:00.000-08:002009-02-09T13:05:46.362-08:00SMC Pentax-M 50mm f:1.7<p>Un effet secondaire sympathique de l'achat du boîtier Pentax MX : était vendu avec un objectif 50mm (sans doute celui qui avait été initialement acheté avec l'appareil, il y a une trentaine d'année de cela), que je n'aurais sans doute jamais acheté séparément, étant déjà pourvu en ce domaine : le SMC Pentax-M 50mm f:1.7
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/T6u5gLO91kpWJCzCRDkeew?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img height="200px" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVCjCml1k2-t0pTAs0xVAmKcA_GCyG6hVrMjgG9WOmF9UGNdz-PSryU-NRRMG2w6aacOv9vmcSY3wIsG7p-otZxh1zSWs25G7n3NQXwpecJlqtn7i2Cg-UWNRJPJlZTj-d1Eq0Jl63vSg/s288/pentax_m_50mm_f1.7_1.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/5_xSyOPqOciyJIeMePx25A?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img height="200px"src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhN8xJvp4a89zMvepsJR1u2lnEA0ZiqKgQqC9xRoQ9eAx5a-ovc6dgTTK4LC5FhI7Jk_18X4lQEA4c_A9PGGDUxcS2S2r61QnxK4XHj7xD6eZReMUqnRwURpWyMsj1klsvdN-Bdcr_52_g/s288/pentax_m_50mm_f1.7_2.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/MqDVU908SJb4D-hAs_g-IQ?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img height="200px" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEga766f0LTCk2to_D5oDdpD8N_MpWefa1JMP2-TvX2diHcSXiN6d5vKoVA5Yo4hD8HRLzn_4SNdPL3Rr49VjD2sctK4012Pb4a6pGm36rSzgtDf2I_vmC_SC-3YOBuA5pVbsOrbSGeJ7nE/s288/pentax_m_50mm_f1.7_3.JPG" /></a>
</p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : SMC Pentax-M 50mm f:1.7</li>
<li>Date d'achat : 28 novembre 2007 (ebay Royaume-Uni)</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Diaphragme : f/1.7 à 22, six lames</li>
<li>Mise au point : 45cm à l'infini</li></ul>
<p>Alors, évidemment, ce n'est pas le splendide <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/smc-pentax-m-50mm-f14.html">SMC Pentax-M 50mm f:1.4</a>, que j'avais acheté quelques semaines plus tôt : 1/2 diaphragme en plus, ce n'est pas énorme dans l'absolu, mais il y a tout de même une différence en termes de qualité d'image. Sans compter que le diaphragme à huit lames du f:1.4 produit des flous d'arrière-plan beaucoup plus doux que les six lames du f:1.7.</p>
<p>Par contre, le 50mm f:1.7 a un avantage non négligeable : il est nettement plus petit, et plus léger. Il se loge ainsi sans soucis dans les étuis rapides, alors que le f:1.4 est un peu limite ; et puis, il est suffisamment bon marché en occasion pour pouvoir le trimbaler dans des conditions un peu rude sans mettre en danger son patrimoine...</p>
<p>Bref : un bon petit soldat, toujours prêt à l'action !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-52631272747174361822009-02-08T04:35:00.000-08:002009-02-09T13:22:33.087-08:00Pentax MX<p>Si je ne devais garder qu'un seul de mes boîtiers Pentax, ce serait celui-là : compact et léger, mais robuste ; entièrement mécanique, mais plein d'astuces pour simplifier la vie du photographe... Un excellent numéro !</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/JmTxJajHBVkPKI19titqWQ?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5qF5gnL1GUvRlTv9xGIbS2zyhbDhYgKWl6ejnR5xEQzB93nqBYwEzmiK0edFNDdbKSXkW22-ErywOGzT8uMZWCIMhmRz1QuNXQyhNTBp3dCo_51RTebbGVxi22Syir3zmBkt1CX-0Maw/s288/pentax_mx-2.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/PXicDhj1-kv5AgLQN-EpWA?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOLT4TgXUWGSYMgge2-eCJhxWA5JYqKXA-m8yjcyImNBpRa5n5AHUFOiU-87SbwrMpbkzeLuiVNDuwAmD5Rj6A0Q_Qk6KSHTIZPjw4vxtIHGK_BEpQXo9E9Bb0WZ_Sq2OVDCxlrwddcwM/s288/pentax_mx-1.JPG" /></a>
</p>
<ul>
<li>Type : boîtier réflex 35mm</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : MX</li>
<li>Années de fabrication : 1976-1895</li>
<li>Date d'achat : 28 novembre 2007</li>
<li>Monture : baïonnette Pentax K</li>
</ul>
<p>Vu de l'extérieur, le MX ressemble comme deux gouttes d'eau à son successeur, le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-me-super.html">ME</a>. La carcasse est pratiquement la même, le poids très voisin ; le mécanisme d'entraînement de la pellicule est identique. Mais au delà de ça, les différences commencent...</p>
<p>L'obturateur, d'abord. Sur le ME, il s'agit d'un obturateur à lame métallique, circulant de haut en bas, comme sur tous les appareils ultérieurs ; le MX a encore l'obturateur à rideau de soie, défilant horizontalement, comme sur les appareils de série K ou les <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/11/asahi-pentax-sp500.html">spotmatics</a>. C'est sans doute le seul point de faiblesse du MX en terme de vieillissement : avec le temps, la poussière peut s'accumuler dans les glissières. Le défilement des rideaux devient alors irrégulier, ce qui se traduit par des bandes verticales plus claires ou plus sombres sur les photos - une petite révision, et il n'y parait plus. Et l'obturateur vertical du ME Super a tendance, lui, à se coincer complètement...</p>
<p>Tout le reste va du côté de la fiabilité : contrairement au ME, mais comme les appareils de la série K, le MX est entièrement mécanique ; la seule intervention de l'électronique, c'est l'existence d'une cellule photo-électrique pour mesurer la lumière. Ce qui veut dire que l'appareil tire très peu sur sa pile, et peut continuer à marcher parfaitement normalement (à la mesure près) si celle-ci vient à défaillir.</p>
<p>Par ailleurs, le X dans le nom de l'appareil est pour <i>expert</i> : comme son grand frère le KX, il offre un certain nombre d'astuces propres à réjouir le professionnel ou l'amateur avancé. Le levier de retardateur, par exemple, en face avant : il est similaire à celui du ME Super, à ceci près que, actionné en sens inverse, il permet le contrôle de la profondeur de champ, c'est à dire qu'il débraye le blocage du diaphragme en position ouverte pour lui donner l'ouverture prévue pour la prise de vue.</p>
<p>À propos de diaphragme également : on observe sur l'avant du prisme un petit trou vitré, juste au dessus de la monture de l'objectif. Il s'agit en fait d'un dispositif optique très astucieux qui permet de lire, à travers le viseur, la valeur du diaphragme directement sur la bague de l'objectif. Comme la vitesse s'affiche également, grâce à un disque transparent solidaire de la molette des vitesses, sur lequel on lit également le verdict de la cellule, tous les éléments sont clairement affichés dans le viseur, sans qu'il y ait besoin d'électronique pour ça.</p>
<p>Notons par ailleurs que le MX offre des dépolis de visée interchangeable, ce qui n'est pas d'une utilité vitale au quotidien, mais peut être sympa dans certains cas.</p>
<p>Un gadget qu'offrait le KX et qui fait défaut sur le MX : le verrouillage du miroir, qui permet de limiter le soubresaut de l'appareil lors de la prise de vue. On parvient cependant à faire l'équivalent par une astuce : une petite pichenette sur le déclencheur, qui convenablement dosée bascule le miroir sans pour autant déclencher l'obturateur... Pas nécessairement prévu pour, mais utile pour la photo sur trépied en basse lumière.</p>
<p>Bref : je ne regrette pas les 51 livres que m'a couté l'appareil sur ebay.co.uk, ni le coût d'une révision complète (coût supérieur à celui de l'appareil bien entendu). Même si le Pentax LX, plus récent et beaucoup plus cher sur le marché de l'occasion, a encore meilleure presse, je recommande sans réserve le MX comme meilleurs compromis qualité-prix pour quiconque veut se lancer dans le « tout manuel »Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-74853661656326614422009-01-18T14:20:00.000-08:002009-01-18T08:41:19.000-08:00SMC Pentax-M 35mm f:2.8<p>Après avoir testé mon <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/09/smc-pentax-28mm-f28.html">SMC Pentax-A 28mm f:2.8</a>, j'avais pu constater que, si une focale aussi large permettait des effets intéressants, elle avait aussi comme défaut de déformer nettement verticales et horizontales, notamment pour les photos en contre-plongée. J'avais donc fini par me dégoter un objectif intermédiaire : le 35mm.</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/mir5bApZ7Js8m_wepggpUg?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4IIn9Pddcq1Mb1TNakqbvH1aJucwStw6YZNxWJpocBATPZ53gSAF75u98-At_rJ13Rb6AxVKtrLK8NtEwxm_HZKzBL9AVKpa_2MHlFA24FB4VW3P9ns6nLO6Wcl0oAqMV7YIrZWR3Y0g/s288/pentax_m_35mm_f2.8_3.JPG" height="240px" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/G1lQfFi0wFOGuFzitnpTyQ?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2acS54m1S_WQfKqcEgldGPmEW5zakqlj0rowxEEjeGylFaT2kxEgHa6FCQLrW0BY3fc-RfIOl9KxLC41Y1HJ3_3aV6XhOV8ohEvjBReMh4TDAIrsyPnsswy-9w4lMG_azaC0Lmqn54Qk/s288/pentax_m_35mm_f2.8_1.JPG" height="240px" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/JmWWg2ZehoIqP2pvmXdk4A?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiDdgqPgiEN1EgKkRScT_wGVAq2ct5mGz8tSDtUXULAZuAdv5H1Gr3xmhSZvf9nuzY6sWe2p_V_SktVNv_pDMe_tKgJoimIc_z1PzUbXjSir13HpwNwkwDHZ3uQc-hndgemv0FPoQ_0JQ/s288/pentax_m_35mm_f2.8_2.JPG" height="240px" /></a>
</p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : SMC Pentax-M 35mm f:2.8</li>
<li>Date d'achat : 14 novembre 2007 (ebay France)</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Diaphragme : f/2.8 à 22, cinq lames</li>
<li>Mise au point : 30cm à l'infini</li></ul>
<p>J'avais eu quelques inquiétudes lors de la prise en main de l'objectif : le ressort de rappel de la petite patte qui maintient le diaphragme ouvert lors de la mise au point me semblait un peu mou. Et de fait, lors des <a href="http://le-plume.blogspot.com/2007/11/question-de-rythme.html">toutes premières photos</a> prises avec, j'ai observé un léger retard au déclenchement. Sans effet néanmoins sur la qualité d'image, comme vous pourrez le voir en suivant le lien.</p>
<p>Verdict : un bon petit objectif, plutôt lumineux, avec une focale idéale tant pour les <a href="http://le-plume.blogspot.com/2009/01/hivernal.html">perspectives ouvertes</a> que pour les photos d'architecture. Utile à avoir sous la main ; penser à l'utiliser plus souvent !Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-82301501295120635492008-12-22T02:36:00.000-08:002009-01-18T08:42:34.297-08:00SMC Pentax-M 200mm f:4<p>Reprenons l'inventaire de mon petit matériel à moi que j'ai... Après le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/08/smc-pentax-m-135mm-f35.html">135mm</a>, j'ai eu envie d'une focale un peu plus longue - le 135mm, ça ne va pas vous chercher un petit oiseau sur une haute brache, sauf à grimper soi-même à l'arbre.</p>
<p>Je suis donc retourné sur la baie avec mon petit panier ; après le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/smc-pentax-m-50mm-f14.html">50mm f:1.4</a> britannique et le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/08/smc-pentax-m-135mm-f35.html">135mm f:3.5</a> suisse, c'est un 200mm hellénique (toujours dans la gamme SMC Pentax-M) que je me suis dégoté pour une somme tout à fait raisonnable.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/6Zl9dVeEpQwoBl-T2mhqeQ?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuRCG6NxCvdQZKgGVkTqrcKbdVji_AhZFktagc-m0xsdU7gdFXidyu-DNKfGXNn5KAOfDaaPL2M8pePhs1c8ebHqeEiWF7VllxuDP6lVIUyT1oS3HBvxwO_vporNhQhotElJ1jdqyyv7A/s400/pentax_m_200mm_f4_1.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/zFh0-TOaDKZTgs8tto-AdA?authkey=ZeyWG5bO_bI&feat=embedwebsite"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2EjLdsyyIBStk7Tq_tM1knbcGPOWtTNlibl10M8vL4lmalxjCllIk3ekJ0DLgL7W3GJhCM4WJ73SvY7tkWpUdgmRM3LApGlIsTK9bT-3dV_0jSAqTEV_H-c2E5OcBD4DBlvNlTs-obZ4/s400/pentax_m_200mm_f4_2.JPG" /></a></p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : SMC Pentax-M 200mm f:4</li>
<li>Date d'achat : 4 novembre 2007 (sur ebay, en provenance de Grèce)</li>
<li>Porte-filtre : 52mm</li>
<li>Pare-soleil intégré</li>
<li>Diaphragme : f/4 à 32, huit lames</li>
<li>Mise au point : 2m à l'infini</li></ul>
<p>Cet objectif a l'avantage d'être très compact au regard de sa longueur focale. Un peu lourd peut-être : ce n'est pas le plastoc des séries F ultérieures ; un peu plus encombrant aussi tout de même que le 135mm, qu'on peut vraiment emporter avec soi sans même y penser.</p>
<p>Question qualité d'image, pas de mauvaise surprise : <a href="http://le-plume.blogspot.com/2007/11/lumire-au-pont-de-tolbiac.html">dès les premiers essais</a>, j'ai obtenu un résultat tout à fait satisfaisant. La prise en main est plaisante, bien équilibrée ; l'image résultante a une bonne définition, même à une grande ouverture - enfin, à sa plus grande ouverture : c'est du f:4 « seulement ». Sachant que, l'appareil à la main, il est délicat de descendre en dessous d'1/250<sup>e</sup> de seconde, on conçoit qu'il ne soit pas si fréquent d'aller au delà de f:8, surtout en hiver. La qualité d'image à pleine ouverture est donc la bienvenue !</p>
<p>J'utilise beaucoup plus cet objectif depuis quelques mois, et ce pour deux raisons : l'achat d'un 300mm (dont je reparlerai) m'a permis d'apprécier à quel point ce 200mm était en fait tout petit et tout léger ; et puis, l'un des avantages de la paternité, c'est qu'on peut utiliser la poussette pour trimballer le fourre-tout photo, fut-il bien plein !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-51110356832905287962008-11-11T10:24:00.000-08:002008-11-11T10:39:39.190-08:00SMC Takumar 1:3.5 / 35<p>Pour terminer avec le kit paternel accompagnant le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/11/asahi-pentax-sp500.html">SP500</a>, après le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/11/super-takumar-12-55.html">55mm</a> et le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/11/smc-takumar-135135.html">135mm</a>, le petit dernier : un grand angle, le 35mm. 35mm, ce n'est pas du très grand angle, mais c'est une focale que j'aime bien parce que, contrairement au 28mm, les déformations des lignes droites (l'effet tonneau) ne sont pas trop marquées. Pratique, en particulier, pour des photos de bâtiment.</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/MLvbzbZF4C1Zwuglq3eADw?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img height="250" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuqMQerzm5Bn_nsdY8i61jV03Qh276X6860P_CFeJlG1F6bzgFPl1phO31E7TFKO1v46TQUhyKZ4_KcAZGbPDGzUafC2Cux10uJWgE1MMTkakUu8q3CLCH9M3R4UKqTFZo17dhlHwbW0U/s400/asahi_pentax_sp500_35mm_55mm_135mm.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/2amrNPhVDe6oCVVzNnUbAQ?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img height="250" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYJejHk6NEPyq3NcpEgB58vvM4miADxPeTyrNEsK7hMeMl_1o3kM42kNFdJo-pNJNp6z19GattESYnk2ArnZwU0tWrDaNEEt01iUiGVLTkL-rD22jI_rebVwbAiRAISCE25VtLwNNoLBU/s400/smc-takumar_35mm_f35.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Asahi Pentax</li>
<li>Modèle : Super-Takumar 1:3.5/35</li>
<li>Focale : 35mm</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Diaphragme : f/3.5 à 16</li></ul>
<p>Une petite particularité de cette gamme d'objectif : l'objectif de moyenne focale est physiquement plus long que le grand angle. Sur la photo de gauche, ils sont par focale croissante : 35, 55 et 135mm, de gauche à droite. Ce n'est pas le cas avec les gammes plus récentes : la chasse au millimètre et les progrès des optiques ont permis de raccourcir les 50mm, alors que les grand angles sont à peu près incompressible : la distance au film étant de toute façon supérieure à leur distance focale, ils contiennent forcément des lentilles divergentes pour compenser cet écart. C'est la raison pour laquelle les objectifs les plus compacts pour monture Pentax sont aujourd'hui les 40mm : c'est la plus courte focale pour laquelle on peut se passer d'élément négatif à l'avant de l'objectif.</p>
<p>Ce n'est pas gênant pour l'argentique ; par contre, pour les réflex au format APS-C, c'est un peu gênant, puisque l'objectif correspondant à un 50mm serait un 28mm, dont on aimerait qu'il soit le plus petit (et le plus ouvert) possible... Pas de remède simple à ce soucis, sauf à rapprocher nettement le capteur de la façade du boîtier, ce qui supprimerait la compatibilité de ces boîtiers avec les optiques ancienne - un point fort de Pentax, au cœur de sa communication commerciale...</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-52126276825309782872008-11-11T09:59:00.000-08:002008-11-11T10:30:25.073-08:00SMC Takumar 1:3.5 / 135<p>La suite des objectifs du <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/11/asahi-pentax-sp500.html">SP500</a> : après le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/11/super-takumar-12-55.html">55mm</a>, le 135mm. Un petit téléobjectif bien pratique, cf. ce que je disais à propos du <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/08/smc-pentax-m-135mm-f35.html">SMC Pentax-M 135mm f:3.5</a>.</p>
<p><p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/viI9XDTX2sfWp1lirOZz8A?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnEtlP5iNhNM7ZBdPEpvDjRjCgrf2fKr8RiWdtCCSdt6hq-B1PKw-PX908w9N6CBU9097NBDM14HOC9WqwxAqi9QILML29RPOhMRzpdEZa9lZvjdCrvNEMzfEUXEz6NegI9XSgwDvsB-g/s400/smc-takumar_135mm_f35_2.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/OYp3ZTC4sM78X-Rrgco_CA?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsQ2sUKWaFiAPVufvs_e_BcTJUDLNRD0k7w-JEM9pOWoxWdcu8n1O16A9ARfQg88ipBVpoS-wWG0Hb5he-AUZeoRnMlNPdM5jlc5UCE22kVu85w-8RFmyIZx2rdzCvy8LaAoOEGvILbg8/s400/smc-takumar_135mm_f35_1.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Asahi Pentax</li>
<li>Modèle : Super-Takumar 1:3.5/135</li>
<li>Focale : 135mm</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Diaphragme : f/3.5 à 22</li></ul>
<p>La comparaison avec le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/08/smc-pentax-m-135mm-f35.html">SMC Pentax-M 135mm f:3.5</a> montre bien l'évolution des optiques Pentax durant les années 1970 : ils ont tous deux un porte-filtre de 49mm (alors que le successeur immédiat du SMC-Takumar, le SMC Pentax (pas M) à baïonnette était en 52mm) ; cependant, le Takumar est plus fin, son tube étant adapté à la monture M42, plus étroite ; il est par contre plus long, n'ayant pas bénéficié des avancées en matière d'optique de la gamme Pentax-M.</p>
<p>En terme de qualité d'image, je n'ai pas remarqué de différence flagrante ; du point de vue de la commodité, noter que le Pentax-M 135mm dispose d'un pare-soleil rétractable, intégré à l'objectif : l'avantage d'avoir un peu plus de marge en terme de diamètre, je suppose. Le takumar était vendu avec un pare-soleil métallique, mais j'ai noté qu'il causait un net vignettage des images : il est donc trop long, alors que la documentation Pentax le donne comme adapté à cette optique... Vas comprendre.</p>
<p>À noter sur la photo de droite, quelques caractéristiques de la dernière mouture des optiques Asahi Pentax à vis : le petit picot qui dépasse à l'intérieur de la monture. Lorsque l'objectif est monté, le boîtier presse sur se picot, maintenant le diaphragme ouvert ; ce n'est que lorsque l'on enclanche la cellule pour mesurer la lumière que le diaphragme est libéré. Sur le côté, près de la monture, un bouton à glissière <i>Auto/Man</i> : il sert uniquement à débrayer le mécanisme précédent, au cas où l'on monterait l'objectif sur un boîtier d'une autre marque dans lequel le picot de débrayage se retrouverait enfoncé en permanence. Évidemment, vu en 2008, la mention <i>Auto</i> laisserait attendre bien d'avantage... Le charme du matériel ancien !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-73152142369428761972008-11-11T09:12:00.000-08:002008-11-11T10:03:45.613-08:00Super-Takumar 1:2 / 55<p>Après la présentation du <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/11/asahi-pentax-sp500.html">SP500</a>, ses objectifs - les bon vieux Takumar à monture M42...</p>
<p>Comme c'était l'usage avant que l'on se mette à vendre du zoom à tour de bras, le kit que l'on avait proposé à mon cher paternel se composait du boîtier, de quelques eccessoires et de trois objectifs : un objectif de moyenne focale (55mm), un grand angle (35mm) et un téléobjectif (135mm).</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/UJcSZAL2e1T2_cD5tm1g_Q?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiXuRLjxUpMrUgZ1xJyX00xKGCGNamY_oI1mPQfLctEKGnUzi_yUyu8pViEXdpmWBz5mY6ZNkz6ji7zPEiV9QDA4pmahdLfsCp_tdpKXyYhLxLE84OuCUeulkEgxCrfyL80gF-VvLWU4E/s400/super-talumar_55mm-f2.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Asahi Pentax</li>
<li>Modèle : Super-Takumar 1:2/55</li>
<li>Focale : 55mm</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Diaphragme : f/2 à 16, six lames</li></ul>
<p>C'est l'objectif de base de l'ensemble ; curieusement, alors que les deux autres sont de la gamme SMC Takumar (<i>super multi coated</i>), celui-ci n'est que de la gamme Super-Takumar, dont le traitement multicouche des lentilles est réputé un peu moins bon... Mais c'est de loin celui que j'ai le plus utilisé, et ça ne m'a jamais particulièrement posé problème. À la rigueur, en comparant toute chose égale par ailleurs avec des objectif SMC, on note de légers décalages chromatiques... Et encore, ça n'est pas évident.</p>
<p>Bien sûr, on ferait sûrement mieux avec le SMC Takumar 1:1.4/55, qui était absolument hors de prix à l'époque mais que l'on trouve pour pas cher maintenant... Mais on prend de très bonnes photos avec celui-ci.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-40300329409859279062008-11-09T03:20:00.000-08:002008-11-11T09:42:41.362-08:00Asahi Pentax SP500<p>Une petite pause dans les descriptions de mon équipement pour mentionner quelques appareils que j'ai utilisé ou que j'utilise bien qu'ils ne m'appartiennent pas, et en particulier les appareils paternels et beau-paternels. En commençant par un appareil dont, à défaut d'être l'acquéreur, j'ai été un des premier sujets : l'Asahi Pentax de mon papa.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/RWYfpzAWFSk95jpeUVYacQ"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjptxyFCNvCdDuylz_CoZzQMgvtRFoH5rQeN67RjSMniROsP1dndQevk_OADdOFq2FNr9J6BHBl8NddU2taBUkoJw8yUO23g8owDyGS2SL5leUWwp4JjgRjmNZ2F4eAF02EJQiV2evIA7E/s800/2008_I10_IMG_3817.JPG" /></a></p>
<ul>
<li>Type : boîtier réflex 35mm</li>
<li>Constructeur : Asahi Pentax</li>
<li>Modèle : Spotmatic SP500</li>
<li>Années de fabrication : 1980-1986</li>
<li>Date d'achat : début 1972 (pas par moi, j'avais un an !)</li>
<li>Monture : à vis type M42<li>
<li>Obturateur : double rideau à défilement horizontal, 1 s à 1/500<sup>e</sup> (en fait la vitesse au 1/1000<sup>e</sup> fonctionne bien qu'elle ne soit pas marquée sur le bouton des vitesses), pose B</li>
</ul>
<p>Cf. sur cet appareil les entrées qui en parlent dans <a href="http://le-plume.blogspot.com/"><i>Des photos et des jours</i></a> ; <a href="http://le-plume.blogspot.com/2008/10/spotmatic-suite.html">la dernière en date</a> était illustrée par la même photo que celle-ci.</p>
<p>C'est en tout cas un appareil particulièrement robuste, de même que son successeur le Pentax K1000 dont j'ai acquis un exemplaire il y a quelques jours. Le K1000 est identique au Spotmatic (au SP1000 plutôt qu'au SP500, mais ils sont pratiquement identiques), à la griffe porte-flash près (les Spotmatics n'en ont pas) - seule change la monture d'objectif. La monture M42 des Spotmatic est nettement plus petite que la baïonnette K qui lui a succédé, ce qui fait qu'ils paraissent plus grand que les K1000 : plus de place libre sur la façade... Mais j'ai un étui rapide prévu pour les Spotmatic (puisque marqué Honeywell Pentax, la marque sous laquelle Asahi Optical Co. diffusait ses Spotmatics sur le continent américain) : il est exactement de la bonne taille pour le K1000.</p>
<p>Asahi Pentax était le dernier des grands constructeurs à avoir conservé la monture à vis, jusqu'au début des années 1970. Elles n'étaient pas mal, ces montures, mais il faut reconnaître que le changement d'objectif lorsqu'on est en vadrouille demande une certaine dextérité. par ailleurs, si une astuce au niveau de la monture permettait la mise au point diaphragme ouvert, il fallait bien le refermer au moment de la mesure de la lumière, alors qu'avec la monture K, on fait tout diaphragme ouvert et ce n'est qu'au moment de la prise de vue qu'il est ajusté. Cela permet de travailler simultanément sur la mise au point et la mesure de lumière, alors qu'il est difficile d'ajuster la mise au point diaphragme fermé, surtout si on est à f:16 ou au delà... D'un autre côté, pas besoin de bouton de contrôle de la profondeur de champ (qui n'est qu'un débrayage du mécanisme de visée diaphragme ouvert), puisque le passage en mode mesure le fait automatiquement.</p>
<p>J'ai pris mes premières photos avec cet appareil dans les années 80, alors que j'avais 11 ou 12 ans (c'est l'avantage d'un appareil robuste) ; j'ai commis une demi-douzaine de rouleau pendant mes années de collège et de lycée, de 1982 à 1987 (avec une certaine modération donc, les frais de développement étant mirobolants au regard de mon argent de poche) ; je l'ai de nouveau emprunté lors de mon voyage en Afrique du Sud en 1997. Mais ça me fait toujours plaisir de le manipuler, même si j'utilise maintenant mes propres appareils pour prendre des photos. Pour retrouver le mémoire gestuelle de ces premiers déclics.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-43196132704522407082008-09-21T13:14:00.000-07:002008-11-11T09:43:31.283-08:00YashicaMat 124G<p>À force de faire mumuse avec des pellicules, on a envie d'avoir autre chose que les classiques films perforés 35mm (le format 135), par exemple le (chronologiquement plus classique) <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/04/ilford-hp5-120.html">format 120</a> : les rouleaux de 6cm de large. Pour ça, encore faut-il avoir un appareil photo qui utilise ce format, sachant que les mythiques Hasselblad sont certes excellents, mais hors de prix, même très vieux et d'occasion, et que la plupart des Kodak Brownies que l'on trouve dans les brocantes sont totalement inutilisables.</p>
<p>Un bon compromis : l'appareil réflex à deux objectifs jumeaux. Le plus réputé, dans ce genre, c'est le Rolleiflex ; mais là aussi, il coûte un prix fou, même d'occasion. Un peu moins fou que les Blad, mais fou quand même, quand on en a un usage occasionnel. Du coup, c'est sur un appareil relativement récent, et de fabrication japonaise, le YashicaMat 124G.</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/JzeeoPUC1Xf4KJM5-5vdQg?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SNatHZnpBHI/AAAAAAAAAnA/IUPF9o0Ul_c/s288/yashicamat_124G_1.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/VgldaOqEOJEsI0DBVWaVxA?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh3.ggpht.com/leplume/SNatHnBGoxI/AAAAAAAAAnY/0Z6Urg2ecLY/s288/yashicamat_124G_4.jpg" /></a>
<br/>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/VKGX168uUvR6IQr8rL6Jmw?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SNatHXltx-I/AAAAAAAAAnQ/_iQza6MTAME/s288/yashicamat_124G_3.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/TxQOzIz5u_lXUddTPRz9-w?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SNatHQRlwXI/AAAAAAAAAnI/y7AK4FRtbBg/s288/yashicamat_124G_2.jpg" /></a>
<ul>
<li>Type : boîtier réflex 6×6 à objectifs jumeaux</li>
<li>Constructeur : Yashica</li>
<li>Modèle : YashicaMat 124G</li>
<li>Années de fabrication : 1971-?</li>
<li>Date d'achat : 21 octobre 2007</li>
</ul>
<p>Le principe de ces appareils : les deux objectifs ont une formule optique identique et sont fixé à une même façade mobile, qui avance ou recule pour procéder à la mise au point. Celui du haut permet la visée, par l'intermédiaire d'un miroir et d'un dépoli que l'on regarde par le haut (cf. la troisième photo). Celui d'en bas fait face au film ; c'est par lui que se fait la prise de vue. On a donc l'avantage d'une mise au point directe, en constant sur le dépoli la netteté de l'image, sans avoir besoin d'un système de télémètre, sans avoir l'inconvénient d'un miroir mobile, mécaniquement délicat (d'autant que le miroir est plus grand qu'en 35mm).</p>
<p>L'objectif n'étant pas interchangeable, l'obturateur lui est intégré ; il s'agit d'un obturateur radial situé au point focal de la lentille, et non d'un rideau horizontal ou vertical situé au plan focal, c'est à dire juste devant la pellicule. Avantage : au point focal, comme son nom l'indique, le faisceau lumineux correspondant à l'image est pratiquement rassemblé en un point ; l'ouverture et la fermeture de l'obturateur est donc simultanée pour l'ensemble de l'image.</p>
<p>Sur un boîtier 35mm, au contraire, l'ouverture de l'image est décalée dans le temps, en suivant le parcours du rideau - même si toute l'image reçoit la même quantité de lumière puisque le deuxième rideau (qui «, referme la fenêtre ») se déplace dans le même sens que le premier. L'exposition est juste décalée dans le temps d'un bout à l'autre de l'image, de quelques fractions de secondes. C'est sans gravité pour des images en lumière naturelle, par contre, pour la photo au flash, c'est plus embêtant : l'éclair du flash étant de toute façon beaucoup plus bref que la durée d'ouverture de l'obturateur, il faut s'assurer que le premier rideau est terminé de s'ouvrir <i>et</i> que le deuxième n'ait pas commencé à se refermer au moment où l'on déclenche l'éclair - sinon, une partie de la photo sera prise au flash, l'autre sans. Aux vitesses élevées, la fermeture du deuxième rideau commence avant que le premier ait terminé de s'ouvrir : pas de photo au flash possible. On doit donc respecter un temps de pose minimal pour la photo au flash ; c'est ce qu'on appelle la vitesse de synchronisation flash (entre 1/60 et 1/125s suivant les boîtiers).</p>
<p>Sur les boîtiers à obturateur radial, donc, pas de problème : on peut faire des photos au flash à n'importe quelle vitesse, ce qui est intéressant quand on utilise le flash comme complément, et non comme seule source de lumière.</p>
<p>Outre ces avantages théoriques, le YashicaMat est un appareil des plus sympathique ; la manivelle latérale d'avance du film (cf. photo 2) est un peu bruyante et pas très commode, mais délicieusement rétro. Il dispose d'une cellule photoélectrique (le petit rond au dessus des objectifs, sur la première photo) mais, sur le mien comme sur beaucoup de ses contemporains, elle ne fonctionne plus. L'optique est par ailleurs d'une excellente qualité, bénéficiant des même traitements multicouches que celle des boîtiers 35mm de la même époque. Je lui dois du coup <a href="http://photo.net/photodb/photo?photo_id=6923652">certaines des photos dont je suis le plus fie</a>r : n'est-ce pas au bout du compte le meilleur argument que l'on puisse donner en faveur d'un appareil photo ?</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-2094477995320775952008-09-08T12:19:00.000-07:002008-11-11T09:35:03.989-08:00SMC Pentax-A 28mm f:2.8<p>Même si je tends plutôt vers le téléobjectif, avoi quelques grands angles ne peuit pas nuir. J'étais tombé sur ce petit 28mm un peu par hasard sur la baie. Pas trop cher, et en plus SMC Pentax-A, et non M, ce qui ne gâche rien.</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/pgpYarJebPZ1G08tZuyksg?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh6.ggpht.com/leplume/SMV7c-ONs2I/AAAAAAAAAiI/kCZH29k5hW8/s288/pentax_a_28mm_f2.8_1.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/HLCLyt3D57Lun3k8xU7A9A?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh6.ggpht.com/leplume/SMV7c6pZEfI/AAAAAAAAAiQ/LYeSCZKfcro/s288/pentax_a_28mm_f2.8_2.JPG" /></a>
<br/>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/DfTRyGVGHhTHbRanm-v0tg?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SMV7c4Ov4mI/AAAAAAAAAiY/r9NcBiHy_K0/s288/pentax_a_28mm_f2.8_3.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/lh/photo/HMg2l_IrIhVr3p1TXq_Ytg?authkey=ZeyWG5bO_bI"><img src="http://lh6.ggpht.com/leplume/SMV7dHpAu1I/AAAAAAAAAig/uDsIkIGquAk/s288/pentax_a_28mm_f2.8_4.JPG" /></a>
</p>
<ul><li>Type : objectif à focale fixe, mise au point manuelle et diaphragme automatisable</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : SMC Pentax-A 28mm f:2.8</li>
<li>Date d'achat : 27 septembre 2007</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Diaphragme : f/2.8 à 22, cinq lames</li>
<li>Mise au point : 30cm à l'infini</li></ul>
<p>Alors, pourquoi le <i>A</i> ? C'est pour <i>automatique</i>, tout simplement : le diaphragme de cet objectif peut être réglé directement par le boîtier, sans intervention de l'utilisateur. Si le boîtier a un mode programme; il pourra même régler automatiquement le diaphragme et la vitesse, en fonction de la lumière disponible et de son ou ses programmes.</p>
<p>Concrètement, quelle différence ? Contrairement aux objectifs Pentax-F, il n'y a aucune électronique intégrée, et les coupleurs mécaniques sont très voisins de ceux des objectifs Pentax-M. Mais pas tout à fait...</p>
<p>D'abord, il y a un certain nombres de contacts électriques qui permettent au boîtier de connaître les caractéristiques de l'objectif. Côté objectif, en fait, il n'y a pas à proprement parler de contacts : au contraire, une petite pastille plastique est à l'emplacement de certains des contacteurs du boîtier pour servir d'isolant ; pour les autres, le contact est établi par la monture métallique. Ces contacts ou absences de contact permettent d'encoder les ouvertures maximum et minimum du diaphragme, histoire que le boîtier ne lui demande pas l'impossible.</p>
<p>Un contact supplémentaire est un peu particulier ; on le distingue sur la quatrième photo, à peu près à mi-chemin des deux vis, sur la monture. Il correspond à la position A marquée sur la bague de diaphragme (cf. troisième photo) ; lorsque cette position est choisie, ce petit point métallique s'avance légèrement, établissant un contact qui signifie au boîtier que l'on souhaite utiliser le diaphragme automatique. Noter que si le boîtier n'utilise pas ces contacts, l'objectif se comporte pratiquement comme un objectif de la série M.</p>
<p>Une différence plus subtile : tous les objectifs à monture K disposent de deux coupleurs mécaniques. L'un relaye au boitier la position de la bague de diaphragme ; le second bloque le diaphragme en position ouverte, permettant de mettre au point et de régler vitesse et diaphragme tout en gardant l'objectif grand ouvert, ce qui est beaucoup plus pratique. Simplement, le boîtier fait ses claculs en tenant compte de la largeur du diaphragme lorsqu'il sera refermé, information communiquée par le premier coupleur ; au moment où on déclenche la prise de vue, le deuxième coupleur se recule, laissant ainsi le diaphragme se refermer.</p>
<p>Sur les objectifs de série A, ce deuxième coupleur est légèrement modifié : son mode d'action est plus précis et soigneusement étalonné (c'est le petit bitonnieau en métal visible sur le haut de la monture sur la quatrième photo). Résultat : alors que pour les objectifs de série K ou M, son action était du tout ou rien (maintenir le diaphragme ouvert, ou reculer complètement pour qu'il se referme à la position sélectionnée sur la bague), avec les objectifs A, le boîtier peut ne faire reculer le coupleur que partiellement, laissant ainsi le diaphragme se refermer, mais seulement à l'ouverture choisie par le boîtier. C'est de cette manière que l'ouverture est choisie.</p>
<p>Évidemment, sur mes boîtiers <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-me-super.html">ME Super</a> ou MX, ça me fait une belle jambe : ces boîtiers n'ont pas la capacité de commande du diaphragme ; un objectif de série M aurait donc donné exactement le même résultat. Par contre, Le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-p30t.html">P30t</a> (dont je me suis séparé depuis), le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/09/pentax-mz-10.html">MZ-10</a> et le MZ-5n ont cette capacité ; les boîtiers numériques Pentax aussi, ce qui fait sérieusement monter le pris des objectifs de la série A !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-61786337793760985152008-08-31T17:47:00.000-07:002009-03-14T03:57:58.013-07:00Flash Cobra D500 Dedicated + Pro Grip<p>Je n'étais pas et ne suis toujours pas un grand pros du flash ; pendant longtemps, je n'ai utilisé que les flashs intégrés, plus le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/12/flash-sunpak-888afz.html">Sunpak </a>dans les cas où ça ne suffisait pas. Jamais eu de résultats très satisfaisants avec ce flash ; j'avais donc décidé d'acheter autre chose...</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5240849139288753330"><img height="200px" src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SLs8hmS3xLI/AAAAAAAAAgA/uHlsk8bKdrc/s288/cobra2.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5240849138388029762"><img height="200px" src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SLs8hi8H0UI/AAAAAAAAAf4/9rJ4SOubJNk/s288/cobra1.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5240849139166296706"><img height="200px" src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SLs8hl1rOoI/AAAAAAAAAgI/3wrrsGuUzNc/s288/cobra3.JPG" /></a></p>
<p><ul>
<li>Type : flash électronique à mesure TTL ou autonome, zoom manuel et tête basculante et pivotante avec flash frontal d'appoint</li>
<li>Constructeur : Cobra</li>
<li>Modèle : Cobra Twin D500 avec module Pentax</li>
<li>Nombre-guide : 30m en focale moyenne à 100ASA</li>
<li>Accessoires : pro-grip et bracket pour montage déporté (cf. photo), filtres couleur</li>
<li>Date d'achat : 26 septembre 2007.</li></ul></p>
<p>Un achat sur la baie, dans sa version britannique ; une déception : si la bête est sympathique au premier abord, elle est aussi d'une construction peu robuste. Elle avait manifestement passé sa vie dans son emballage, et dans doute dans un lieu peu climatisé : le plastique était complètement cuit. Le flash se fixe sur le module dédié constructeur par un système de petits ergots ; la plaque sur laquelle étaient ces ergots tenaient, sur le grip, par quelques vis dans le corps en plastique - qui avait cassé à cet endroit précis. J'ai réussi à réparer vaguement avec des boulons et des écrous (visibles sur les photos, sous la fixation du flash sur la poignée), mais je n'ose guère l'utiliser de peur qu'il me tombe en poussière entre les mains...</p>
<p>Le vendeur, après s'être fait tirer un peu l'oreille, m'a remboursé le grip. Et finalement, la partie que j'utilise le plus, c'est le bras qui se visse sous l'appareil, et que j'emploie avec d'autres flashs...</p>
<p>Règle d'or confirmée, donc : quand on achète d'occasion, viser le robuste. J'ai appris la leçon, je n'achète plus que des éléments originaux Pentax !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-64509468532687549622008-08-28T07:47:00.000-07:002008-11-09T08:57:01.631-08:00Tubes d'extension macro<p>La macro-photo, c'est quoi : l'art de photographier des tout petits objets, et qu'ils apparaissent grand. Deux approches possibles au problème : se rapprocher d'avantage, ou grossir plus.</p>
<p>La première possibilité, ça correspond au mode <i>macro</i> des petits appareils numériques et plus généralement de certains zooms : en diminuant la distance minimale de mise au point, on photographie de plus près, donc l'objet est plus gros sur le cliché résultant. C'est ce que permettent les objectifs baptisés <i>macro</i> par les constructeurs : le groupe optique avant peut d'avantage s'avancer (vous l'avez sans doute observé : l'objectif « s'allonge » d'autant plus qu'on veut mettre au point plus près), ce qui permet de mettre au point deux ou trois fois plus près qu'avec un objectif normal - 23cm avec le SMC Pentax-M 50mm f:4 macro, contre 45cm avec le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/smc-pentax-m-50mm-f14.html">50mm f:1.4</a>. Ceci au prix d'une ouverture maximale nettement moindre.</p>
<p>Une possibilité voisine, dont je reparlerai : les bonnettes d'approche (<i>close-up lenses</i>), qui reviennent à mettre des lunettes à son objectif pour qu'il puisse voir de près ; il faudra bien sûr les enlever pour voir de loin, les plus de cinquante ans qui me lisent voient ce que je veux dire.</p>
<p>L'autre possibilité donc : grossir plus. Pour ça, la méthode, c'est d'éloigner la totalité de l'objectif du récepteur (pellicule ou capteur). Pour des raisons optiques que je vous épargne, mais qui se voient bien en griffonnant avec un papier et un crayon, cela grossit nettement l'image résultante ; par contre, on perd pratiquement la possibilité de mettre au point : plus l'allongement est grand, plus la plage de mise au point devient faible, située à peu de distance devant l'objectif.</p>
<p>Pour faire ça, des dispositifs sans lentilles, qui s'intercalent entre l'objectif et le boîtier : le soufflet, qui permet d'obtenir des éloignements (et donc des grossissements) variables ; les tubes d'extension, qui ont un allongement fixe ; le tube à extension hélicoïdale, intermédiaire entre les deux : un tube à longueur réglable.</p>
<p>Je voulais découvrir les possibilités de la macro sans casser la tirelire ; je me suis donc acheté un jeu de tubes d'extension bas de gamme, pour voir ce que ça donne.</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5239579875231110258"><img src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SLa6ItNvlHI/AAAAAAAAAek/WPnnTqS4y50/s400/tubes_macro_1.JPG" /></a></p>
<ul><li>Type : jeu de tubes d'extension macro</li>
<li>Constructeur : inconnu (<i>made in China</i>)</li>
<li>Date d'achat : 22 août 2007</li>
<li>Composition : adaptateurs Pentax K avant et arrière, tubes à vis (60×0,75mm) n°1, 2 et 3 ;</li>
<li>Longueur : 12 à 60mm suivant composition ;</li>
<li>Grossissement (pour un 50mm mettant au point à partir de 45cm) : 1:0,22 (adaptateurs seuls) à 1:1,31 (adaptateurs et tubes 1, 2 et 3).
</ul>
<p>Notons au passage que l'usage, en macro, est de donner le grossissement obtenu <i>sur le capteur</i> (la pellicule, en ce qui me concerne). 1:1 signifie donc qu'un objet de 24mm prendra toute la hauteur du cadre ; plus le dénominateur est important, plus on grossit. </p>
<p>Que dire de ce jeu de tube ? Qu'il m'a permis de faire ce que je souhaitait, découvrir la macro à moindre frais. cependant, le système à adaptateurs+tubes vissés est fort malcomode, d'autant que les pas de vis médiocres se grippent facilement. Bref, Quant aux montures K des adaptateurs, je ne les installe pas sur mes boîtiers sans craindre qu'elles y restent à jamais... Pour une plus ample utilisation, il faudra passer à du matériel de meilleur qualité.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-84474302572545122412008-08-26T03:13:00.000-07:002008-12-22T03:18:55.946-08:00SMC Pentax-M 135mm f:3.5<p>Il y a des photographe qui tendent vers les vastes horizons, vers les champs larges ; d'autres qui vont plutôt vers le détail significatif, vers un cadre plus rapproché ; je serais plutôt de ces derniers. Du coup, j'ai plutôt tendance à alterner entre moyenne focale et téléobjectif, sans aller d'ailleurs vers les très longues focales - qui indépendamment de leur coût posent vite des problèmes de poids et d'encombrement, sans compter la quasi nécessité d'utiliser un trépied dans la plupart des situations.</p>
<p>Résultat : dès que je peux, j'emmène avec moi un 135mm. Ça faisait partie de l'attirail du Spotmatic paternel et je m'en était acheté un dès que j'avais commencé à me lancer dans l'achat de matériel d'occasion : le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/tamron-adaptall-135mm-f28.html">Tamron 135mm f:2.8</a> dont je vous avais parlé, de très bonne qualité mais un peu lourd. J'utilisais auparavant le zoom <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/11/zoom-smc-pentax-f-100-300mm-145-56.html">100-300mm</a> vendu avec le Pentax MZ-10, mais il cumulait un encombrement non négligeable avec une qualité optique pas au dessus de tout soupçon...</p>
<p>L'objectif 135mm Pentax-M f:3.5, acheté si ma mémoire est bonne à un ebayeur hélvétique, est donc venu à point nommé compléter ma collection.</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5238752004773979682"><img height="200px" width="200px" src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SLPJMTbrJiI/AAAAAAAAAdo/S4RuVxemNPg/s288/pentax_m_135mm_f3.5_1.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5238752006267961298"><img height="200px" width="266px" src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SLPJMY_3f9I/AAAAAAAAAd4/AGsHvGNSMSM/s288/pentax_m_135mm_f3.5_3.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5238752006666367618"><img height="200px" width="200px" src="http://lh3.ggpht.com/leplume/SLPJMae2soI/AAAAAAAAAdw/8Wrdm51YEjg/s288/pentax_m_135mm_f3.5_2.JPG" /></a>
</p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : SMC Pentax-M 135mm f:3.5</li>
<li>Date d'achat : 19 septembre 2007 (sur ebay, en provenance de Suisse)</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Pare-soleil intégré</li>
<li>Diaphragme : f/3.5 à 32, huit lames</li>
<li>Mise au point : 1,5m à l'infini</li></ul>
<p>Le 135mm f:3.5 de la série M, c'est avant tout une merveille de miniaturisation : il pèse 270g (d'après le site <a href="http://kmp.bdimitrov.de/lenses/primes/tele/M135f3.5.html">KMP de Bojidar Dimitrov</a>), mesure moins de 7cm de long quand on met au point à l'infini ; il a un porte filtre de 49mm de diamètre, identique donc aux objectifs grand angle ou moyenne focale de la même série - comme l'excellent <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/smc-pentax-m-50mm-f14.html">50mm f:1.4</a> dont je vous avais parlé. Il a par ailleurs un petit pare-soleil intégré, pratique comme tout.</p>
<p>Résultat, c'est un objectif que j'emmène avec moi le plus souvent possible, dans la sacoche ou dans son étui à lui, un peu écorné - c'est le signe qu'il a vécu. Et j'aime bien <a href="http://le-plume.blogspot.com/2008/08/le-verger-des-snateurs.html">les images qu'il me donne</a>, par exemple en combinaison avec des films aux couleurs douces comme la Fuji <a href="http://photomatos.blogspot.com/2007/10/fuji-pro-400h.html">Pro400H</a> ou Pro800Z : des teintes subtiles, des effets de profondeur de champ harmonieux... Encore un dont je ne me séparerai pas de sitôt.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-65649328298564211262008-07-20T14:29:00.001-07:002008-11-11T09:37:15.690-08:00SMC Pentax-M 50mm f:1.4<p>J'avais parlé la semaine passée d'objectifs achetés, puis revendus ; celui-ci, je ne m'en sépare pas. C'est ce que j'ai de mieux, tout simplement.</p>
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5225211277158744018"><img height="200px" width="200px" src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SIOt-ONpf9I/AAAAAAAAAWQ/I_x4k-Jhfoo/s288/pentax_m_50mm_f1.4_1.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5225211276790267826"><img height="200px" width="266px" src="http://lh6.ggpht.com/leplume/SIOt-M1y_7I/AAAAAAAAAWg/77PiYS8zf88/s400/pentax_m_50mm_f1.4_3.JPG" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5225211276801445794"><img height="200px" width="200px" src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SIOt-M4dj6I/AAAAAAAAAWY/Mdd2MAcJRKs/s288/pentax_m_50mm_f1.4_2.JPG" /></a>
</p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Pentax</li>
<li>Modèle : SMC Pentax-M 50mm f:1.4</li>
<li>Date d'achat : 5 septembre 2007</li>
<li>Porte-filtre : 49mm</li>
<li>Diaphragme : f/1.4 à 22, huit lames</li>
<li>Mise au point : 45cm à l'infini</li></ul>
<p>Tous comptes, faits, la série des objectifs Pentax-M est ma préférée. Ce sont des objectifs entièrement manuels (ni auto-focus, ni pilotage du diaphragme par le boîtier) particulièrement robustes et compacts - ce qui les distinguent de la série précédentes (dits « Pentax-K », première série d'objectifs Pentax à baïonnette), c'est précisément leur taille et leur poids réduit, à qualité optique égale. Du coup, une bonne partie de ces objectifs (de 28 à 135mm inclus) ont le même diamètre de porte-filtre à l'avant de l'objectif, 49mm, ce qui est ma fois commode.</p>
<p>Quand on donne les références d'un objectifs, on donne deux grandeurs : la logueur focale, qui, en fonction de la taille du capteur (pellicule ou composant), donne le grossissement ; et l'ouverture maximale de la l'objectif, qui indique la quantité maximale de lumière que l'on peut capter, diaphragme grand ouvert. Une très grande ouverture maximale suppose une qualité optique supérieure - après tout, avec une ouverture de trou d'épingle on peut faire de bonnes photos sans utiliser d'objectifs du tout. Bref, plus un objectif peut ouvrir grand, meilleurs il est - et plus cher, bien entendu.</p>
<p>La quantité de lumière qui atteint le capteur dépend de l'ouverture ; elle dépend aussi de la focale. Pour permettre des comparaisons entre les valeurs de diaphragmes d'une optique à l'autre, on exprime ces valeurs non en cm ou en cm<sup>2</sup> mais en fraction de la longueur focale : f/4, f/16, f/5.6... De cette manière, la quantité de lumière qui atteint le capteur à un diaphragme donné (disons, f:5.6) est la même quelle que soit le type d'objectif utilisé, grand angle ou téléobjectif. Et le temps d'exposition qui en découlera sera aussi le même. Corrolaire : comme il s'agit de fractions, plus l'ouverture est grande, plus la valeur est petite. un objectif à ouverture maximale de f:2.8 ouvre donc plus qu'un objectif à f:3.5.</p>
<p>D'où l'intérêt du Pentax f:1.4 : il permet de faire des photos même <a href="http://le-plume.blogspot.com/2007/09/un-char-dassaut-dans-lescalier.html">par luminosité faible</a>. Et, comme qui peut le plus peut le moins, il a, à des diaphragmes plus réduits, une finesse d'image bien plus grande que ses petit camarades qui seraient là à bout de course. Bre : l'objectif idéal, ou pas loin.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com8tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-66371486326202508902008-07-14T13:14:00.000-07:002008-11-11T09:48:51.127-08:00Bague Tamron Adaptall<p>Complément logique des objectif Tamron Adaptall <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/tamron-adaptall-28mm-f28.html">28</a> et <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/tamron-adaptall-135mm-f28.html">135mm</a> : la bague d'adaptation pour ma monture préférée, c'est à dire, bien entendu, les montures Pentax K.
<p class="pic">
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222965753193667666"><img src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SHuzrhkjnFI/AAAAAAAAAMk/Wcc7ZoRSk7k/s288/tamron_adaptall1.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222965756945169266"><img src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SHuzrvi--3I/AAAAAAAAAMs/8_K5TMxdA4k/s288/tamron_adaptall2.jpg" /></a>
</p>
<ul><li>Type : bague d'adaptation pour objectif</li>
<li>Constructeur : Tamron</li>
<li>Modèle : Tamron Adaptall Pentax K</li>
<li>Date d'achat : 3 août 2007</li>
<li>Date de vente : 9 novembre 2007</li>
<li>Monture intérieure : Pentax K</li>
<li>Monture extérieure : Tamron Adaptall</li>
</ul>
<p>Le truc, c'est que depuis qu'il y a sur le marché des boîtiers à objectifs interchangeables, les constructeurs n'ont jamais pu se mettre d'accord sur l'interface entre le boîtier et l'objectif : la monture. En ce qui concerne les boîtiers 24×36, la seule monture relativement partagée entre de nombreux constructeurs est la monture à vis 42mm (M42), utilisée notamment par de nombreux constructeurs allemands, repris ensuite par Pentax pour ses premiers boîtiers (jusqu'au Spotmatic) et par les constructeurs russes , qui produisaient essentiellement des copies de modèles allemands.</p>
<p>Le problème, c'est que changer un objectif à vis, ça prend un peu de temps - pas beaucoup, mais tout de même... Difficile à faire avec une seule main en tout cas, même si j'ai changé sans problème des objectifs M42 tout en marchant d'un bon pas à travers des terrains vagues sud-africains. Par ailleurs, dès lors que l'on souhaite faire communiquer le boîtier et l'objectif, par exemple pour indiquer au boîtier le diaphragme que l'on va utiliser, sans pour autant le refermer avant que la photo soit prise, ça pose des problème d'ingénierie complexes.</p>
<p>Tous les fabricants ont donc produit leur propre monture. Chez Pentax, c'est la baïonnette K, un système à verrouillage par par rotation de 30° - système auquel la marque est restée fidèle jusqu'à aujourd'hui, contrairement à ses concurrents qui se sont ingéniés à rendre obsolètes leurs propres objectifs en changeant de monture (au milieu du gué bien entendu). Elle s'est enrichie de fonctionnalitées nouvelles : réglage du diaphragme par le boîtier (KA), autofocus (KAF)... mais n'empêche, un objectif Pentax K du début des années 70 reste utilisable sur un numérique K20D dernier cri.</p>
<p>Cependant, l'incompatibilité des montures entre constructeurs (sauf Ricoh qui a choisi la monture K) pose problème aux fabricants d'optiques indépendants, comme Tamron : il n'était pas rentable de produire autant de modèles que de constructeurs, même si la partie optique restait identique. La solution retenue : produire des objectifs tronqués, avec une monture simplifiée, et proposer une gamme la plus large possible d'adaptateurs à intercaler entre l'objectif et le boîtier. C'est ce que vous voyez ici.</p>
<p>Ceci dit, cette bague me posait deux problèmes : d'une part, je n'en avait qu'une pour deux objectifs - le démontage/montage de la bague Adaptall est beaucoup plus fastidieux que le changement d'objectif sur le boîtier. Et puis, c'était une bague Adaptall tout court, donc avec monture K, alors qu'une bague Adaptall 2 (monture KA) m'aurait permis d'utiliser ces objectifs en mode programme.</p>
<p>De toute façon, j'ai réglé le problème : j'ai revendu bague et objectifs, et racheté des optiques Pentax de même focale !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-1397067838844788822008-07-13T12:22:00.000-07:002008-11-11T09:38:01.829-08:00Tamron Adaptall 2 135mm f:2;8<p>Vendu avec le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-me-super.html">Pentax ME Super</a>, de même que le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/tamron-adaptall-28mm-f28.html">Tamron Adaptall 28mm f:2;8</a> et le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/riconar-55mm-122.html">Riconar 55mm 1:2.2</a>, un téléobjectif Tamron de fort bonne facture...</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.com/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222581071987742242"><img src="http://lh5.ggpht.com/leplume/SHpV0IaCFiI/AAAAAAAAAKE/rUBQwpe-gAk/s288/tamron135_1.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.com/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222581067234465010"><img src="http://lh6.ggpht.com/leplume/SHpVz2sw1PI/AAAAAAAAAJ8/JAGyU6wQEUE/s288/tamron135_28.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.com/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222581071583458962"><img src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SHpV0G5pNpI/AAAAAAAAAKM/zqAKriCwuns/s288/tamron135_2.jpg" /></a>
<br/>Tamron Adaptall 2 135mm f:2.8, vu seul, <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/tamron-adaptall-28mm-f28.html">avec le 28mm</a> et avec sa bague Adaptall et le pare-soleil déployé.</p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Tamron</li>
<li>Modèle : Tamron 1:2.8 28mm</li>
<li>Date d'achat : 3 août 2007</li>
<li>Date de vente : 9 novembre 2007</li>
<li>Porte-filtre : 55mm</li>
<li>Diaphragme : f/2.8 à 22, six lames</li>
<li>Mise au point : 1,5m à l'infini</li></ul>
<p>Des trois, c'est de très loin celui que j'ai le plus utilisé - il était du <a href="http://photo.net/photodb/folder?folder_id=770416">voyage au Danemark</a>, contrairement au boîtier <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-me-super.html">Pentax ME Super</a>, que je n'avais pas encore suffisament testé pour l'emmener au loin. Il m'a fait là bas, monté sur le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-p30t.html">P30t</a>, des <a href="http://photo.net/photodb/photo?photo_id=6478245">photos dont je suis très content</a> - de même d'ailleurs <a href="http://photo.net/photodb/photo?photo_id=6483350">qu'à Paris</a>, avec le <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-me-super.html">ME Super</a>. Sa grande ouverture (flagrante sur la vue de face) permet de faire des choses très satisfaisantes, que l'on veuille travaiuller par petite lumière ou simplement jouer avec la profondeur de champ.</p>
<p>Le 135mm n'est pas un super-télé : pas la peine de vouloir prendre une mésange à l'autre bout d'un champ ou une starlette dans sa piscine. C'est plutôt l'objectif du petit détail vers lequel on tend, du rétrécissement volontaire du champ de vision. Un peu long pour le portrait ou la photo sociale, par contre, pour lesquels, si on veut un télé, un 85mm ou à la rigueur un 100mm sont plus confortables. Mais comme on ne peut pas tout avoir, c'est je trouve une focale fixe particulièrement utile.</p>
<p>J'ai revendu cet objectif (de même que <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/07/tamron-adaptall-28mm-f28.html">le 28mm</a>) quand j'ai j'acquis des objectifs Pentax de focales équivalentes. Mais j'avoue que celui-ci, je le regrette un peu.</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1621452127775133600.post-88587155012114793192008-07-13T09:59:00.001-07:002008-11-11T09:38:43.845-08:00Tamron Adaptall 2 28mm f:2;8<p>Compris dans le lot du <a href="http://photomatos.blogspot.com/2008/01/pentax-me-super.html">Pentax ME Super</a> : deux objectifs Tamron Adaptall 2, et une bague Tamron adaptall (tout court). J'ai assez peu utilié le Tamron Adaptall 28mm f:2.8, un peu trop gros et un peu trop lourd pour le peu d'usage que je fais de ces focales ; je l'ai quand même <a href="http://le-plume.blogspot.com/2007/11/fatigue.html">utilisé sans problème</a> de temps en temps. Mais je l'ai depuis remplacé par des objectifs Pentax M, meilleurs et plus légers - le 35mm et le 28 mm ensemble doivent peser moins que le Tamron...</p>
<p class="pic"><a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222544862046096770"><img src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SHo04b3MjYI/AAAAAAAAAJs/F-pFevezvbI/s288/IMG_1585.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222963835136130418"><img src="http://lh3.ggpht.com/leplume/SHux74QAPXI/AAAAAAAAAMc/Ub3-NMoAoVo/s288/tamron28_2.jpg" /></a>
<a href="http://picasaweb.google.fr/leplume/Photomatos/photo?authkey=ZeyWG5bO_bI#5222545952628454786"><img src="http://lh4.ggpht.com/leplume/SHo136mStYI/AAAAAAAAAJ0/-jPMIiJFJFU/s288/tamron28.jpg" /></a></p>
<ul><li>Type : objectif manuel à focale fixe</li>
<li>Constructeur : Tamron</li>
<li>Modèle : Tamron 1:2.8 28mm</li>
<li>Date d'achat : 3 août 2007</li>
<li>Date de vente : 9 novembre 2007</li>
<li>Porte-filtre : 52mm</li>
<li>Diaphragme : f/2.8 à 16, cinq lames</li>
<li>Mise au point : 40cm à l'infini</li></ul>
<p>Ceci dit, ce sont des objectifs particulièrement robustes, et optiquement bien fichus - peu de déformation pour un 28mm. Une bonne manière d'étendre à peu de frais ses focales disponibles !</p>Le Plumehttp://www.blogger.com/profile/06892807678626596310noreply@blogger.com0