dimanche 23 décembre 2007

Trépied de table Manfrotto, rotule et rallonge

Je le disais l'autre jour à propos du monopode : je suis encore un peu juste en ce qui concerne les supports. Mais je ne suis pas entièrement tout nu, quand même : mon petit trépied de table me dépanne bien, surtout maintenant que je l'ai doté d'une petite rallonge...

  • Type : trépied de table + rallonge
  • Constructeur : Manfrotto
  • Modèles : Trépied de table + rotule + rallonge téléscopique 15/24cm
  • Hauteur maximale (avec rallonge) : 36cm
  • Date d'achat : 1999 (pied+rotule) et 2004 (rallonge)

Avantage par rapport à d'autres produit du même genre : on est bien dans le domaine des « vrais trépieds » avec pas de vis 3/8" entre le pied et la rotule (et au deux bouts de la rallonge, du coup) et 1/4" pour la fixation de l'appareil. Évidemment, pas d'attache rapide, et un maniment un peu délicat de la rotule dès que l'on charge un peu, mais il ne faut pas trop en demander, pour un trépied qui tient dans la poche !

lundi 17 décembre 2007

Canon Ixus 400

La petite boîte grise qui m'a replongé dan sla photo !

Offert par la Madame sous le studieux prétexte de seconder mes recherches en archives, il a relancé mon goût pour la capture d'images et m'a donné l'envie de démarrer un weblog pour les partager. À ce jour, la tentative se poursuit...

  • Type : appareil numérique compact
  • Constructeur : Canon
  • Modèle : Ixus 400
  • Résolution maximale : 2272×1704 pixels, soit 4 megapixels au format 4×3
  • Objectif : 7.4-22.2mm f:2.4-4.9
  • Date d'acquisition : 2004

Évidemment, on ne peut demander à un objectif de 15mm de diamètre d'avoir le piqué de ses grands frères de 45mm ; mais tout de même, il a un une précision tout à fait louable associée à une bonne ouverture de diaphragme qui en fait un excellent appareil dans les faibles luminosités - utile, ça, en archive, ce qui est tout de même une des ses principales fonctions.

Avis aux avisés : ce paramètres un peu mystérieux qu'est l'ouverture est absolument primordial. Au moins autant que le nombre de mégapixels - qui a réellement besoin de 8, 10 mégapixels avec ce type d'appareil ? Aux agrandissements qui permettraient réellement de profiter de cette résolution, les limites de l'optique seraient de toute façon criantes...

En bientôt quatre ans, cette petite boîte a dépassé gaillardement les dix mille clichés et se porte ma fois bien. Quelques bugs cet été m'ont donné des frayeurs, mais ça semble avoir disparu ; peut-être une légère tendance du capteur à tirer sur le rouge, à moins que ce soit moi qui aies l'œil plus affûté... Elle avait pas loupé son cadeau, la Madame !

samedi 15 décembre 2007

Monopode (marque inconnue)

Il devait bien avoir une marque, cet engin, mais l'étiquette a disparue et je ne m'en souviens plus. C'était du premier prix made in Taiwan, acheté quelques jours avant de partir en Afrique du Sud ; ça ne l'a pas empêché de me rendre de bons et loyaux services depuis dix ans.

  • Type : monopode
  • Constructeur : inconnu (sans doute ISO)
  • Tête : pas de rotule ; pas de vis fixe 1/4" ; poignée en mousse
  • Sections : 4, verrouillage rapide à came
  • Longueur : replié 40cm, entièrement déplié 142cm
  • Date d'achat : janvier 1997

Rappelons le principe du monopode : une sorte de canne, ou de bâton de ski, que l'on fixe sous l'appareil. Un pied plus les deux pieds du photographes font trois pieds, pour un poids et un encombrement bien plus faible que celui d'un trépied. Avec un peu d'entraînement et pas trop de cafféine, ça permet de prendre des photos jusqu'à 1/15e de seconde sans effet de bougé.

Je songe maintenant à le remplacer, mais est-ce bien urgent ? Tant qu'à dépenser des sous pour un support, il serait grand temps que je m'achète un bon trépied. Cette bonne vieille canne pourra toujours me faire de l'usage, moyennant de remplacer son pied de caoutchouc qui a rendu l'âme depuis bien longtemps...

Flash Sunpak 888AFZ

Le boîtier Pentax MZ-10 dispose d'un flash intégré ; celui-ci n'est toutefois guère efficace qaue pour les photos à bout portant - le portrait, à un ou deux mètres de distance. Dès que l'on s'éloigne d'avantage, on arribe à ses limites.

Je m'étais donc acheté, sans trop étudier la question il faut bien le dire, un petit flash extérieur de marque Sunpak, flash tout à fait décent mais dont j'ai eu du mal à utiliser toutes les capacités - soit que sa compatibilité Pentax soit toute relative, soit que je ne me sois pas posé les bonnes questions...

  • Type : flash électronique à mesure TTL, zoom manuel et tête pivotante
  • Constructeur : Sunpak
  • Modèle : 888AFZ pour Pentax
  • Nombre-guide : 30m en focale 50mm à 100ASA
  • Date d'achat : 1999.

Le nombre-guide, c'est une évaluation de la portée du flash : il faut diviser le nombre-guide par le diaphragme pour obtenir la distance maximale à laquelle on peut prendre une photo. Un nombre-guide de 30 est une puissance honorable ; les flash professionnels sont un peu au delà de 50m.

Le défaut de ce flash : comme beaucoup de flashs récents, il est étudié pour fonctionner de manière totalement automatique ; c'est gênant pour travailler avec des boîtiers plus anciens ou si l'on veut contrôler de manière un peu plus fine ce que l'on fait : pas moyen par exemple de diminuer à la main la puissance de l'éclair - par exemple parce que l'on ne veut pas éblouir totalement les convives lors d'une soirée !

Autre défaut, que j'aurais pu corriger par du matériel supplémentaire : je n'avais pas d'autre possibilité que de fixer le flash sur le dessus du boîtier. Il es bien meilleurs de déporter le flash sur le côté, afin d'avoir des ombres légèrement décentrées... Mais je n'ai appris tout ça que depuis.

samedi 17 novembre 2007

Zoom SMC Pentax-F 100-300mm 1:4.5-5.6

  • Type : zoom autofocus longue focale
  • Constructeur : Pentax
  • Modèle : SMC Pentax-F 100-300mm 1:4.5-5.6
  • Date d'achat : août 1998
  • Porte-filtre : 58mm
  • Diaphragme (à 35mm) : 4.5 à 32, 8 lames
  • Mise au point : 1,5m à l'infini

Pour en finir avec le matériel acheté à Osaka : un zoom longue focale, plutôt d'entrée de gamme. Permet des gros plans sur des objets assez éloigné, mais images un peu molles passé les 200mm. Bien pratique, cependant - à utiliser plutôt avec des films rapides, histoire de pouvoir garder quelques crans de diaphragme.

Petit piège : en montant dessus un filtre UV et un pare-soleil souple, ça vignette salement, même avec le diaphragme partiellement fermé. Il faut croire que ça rallonge un peu trop le tube !

dimanche 21 octobre 2007

Fuji Pro 400H

Parlons pellicule, pour une fois.

La pellicule Fuji Pro400H fait partie de ces petites trouvailles qui m'ont réconciliées avec la photo. Je n'y peux rien : je trouve les couleurs des pellicules actuelles un peu trop criardes à mon goût.

J'avais acheté la Pro400H en raison d'une demande particulière : il s'agissait de photographier un tableau dans un musée, en lumière naturelle et en reproduisant le plus fidèlement possible les couleurs. S'agissant d'un tableau au tonalités assez froides, grises, bleutées, beige, la classique Superia n'aurait pas convenu du tout. J'avais donc demandé conseil à mon labo photo ; on m'avait recommandé celle-là : sensibilité suffisante pour de la photo en intérieur, sans flash mais avec trépied ; couleurs plutôt neutres, respectueuses des demi-tons. Ces pellicules ne se vendant pas à l'unité, j'en avais acheté cinq - et depuis je n'utilise plus guère que celle-là !

samedi 6 octobre 2007

Zoom SMC Pentax-F 35-80mm 1:4-5.6

Achevons rapidement la liste du matériel ramené du Japon en 1998 :

  • Type : zoom autofocus moyenne focale
  • Constructeur : Pentax
  • Modèle : SMC Pentax-F 35-80mm 1:4-5.6
  • Date d'achat : août 1998
  • Porte-filtre : 49mm
  • Diaphragme (à35mm : 4 à 22, 6 lames
  • Mise au point : 40cm à l'infini

L'objectif de base, livré avec le boîtier. Efficace, certes : l'autofocus est rapide, le réglage du diaphragme automatisable - c'est l'état le plus avancé de la mise à la portée de tous de la photographie Reflex. « Appuyez, nous faisons le reste » disait Kodak lors du lancement du premier appareil photo grand public, le brownie - un petit cube rigolo, on en trouve plein les brocantes. Avec les derniers boîtiers 35mm sortis avant la vague numérique (et plus encore avec les APS, ces grands malchanceux de l'histoire de la photo), c'était devenu une réalité, y compris avec du matériel de bonne qualité capable, contrairement au brownie et à tous les instamatic qui lui ont succédé, de prendre de fort bonnes photos.

Le problème, c'est que dès qu'on sort un peu du cadre, on se heurte malgré tout à des limitations ; la principale est celle de l'optique. Le zoom pour tous et partout s'impose à partir de la fin des années 80 ; il permet à l'amateur d'éviter des changements d'objectifs parfois acrobatiques. Seulement, un zoom comme celui-ci est très, très loin d'avoir les qualités optiques d'un objectif à focale fixe, fût-il d'entrée de gamme. Ça ce voit à l'ouverture : un diaphragme de f/4 au maximum, ça veut dire quatre fois moins de lumière qui atteint la pellicule par rapport à un 50mm f/2...

Le résultat, ce sont des photos relativement standardisées, avec une profondeur de champ maximale tout le temps, même quand ce n'est pas nécessaire. Et puis, « le zoom amollit la fesse » : il fait croire au photographe qu'il n'a pas besoin de se positionner par rapport à son sujet - plus facile de zoomer un coup que de traverser la rue. Or, le résultat n'est pas du tout le même - mais ça, le zoom nous le cache.

Finalement, c'est en repassant à des optiques fixes que je me suis réellement remis à m'amuser en prenant des photos...

jeudi 27 septembre 2007

Pentax MZ-10

Commençons par le commencement : un boîtier Pentax MZ-10 acheté dans un hyper-magasin d'électronique d'Osaka. Un modèle voisin de celui qui, dans les jours précécdents, m'avait été prêté par les amis à qui nous rendions visite.

  • Type : boîtier réflex 35mm
  • Constructeur : Pentax
  • Modèle : MZ 10
  • Année de fabrication : 1998
  • Date d'achat : août 1998
  • Monture : baïonnette Pentax KAF-2
  • Obturateur : à défilement vertical, 30s à 1/2000e, pose B

Un bon boîtier, ma foi - léger, fiable, une électronique performante... Évidemment, à trop faire confiance à l'électronique, on risque de faire des photos un peu standardisées, mais tout est débrayable : si on veut faire du manuel, on peut.

Un défaut, tout de même, qui est celui de toute une génération : avec le tout autofocus, le stigmomètre (ou télémètre Dodin) disparait du viseur ; du coup, utiliser des objectifs non-autofocus est beaucoup moins agréable - même si un télémètre électronique indique la bone mise au point par un bip et un petit symbole en marge du viseur. Ça doit pouvoir se changer, ça, par remplacement du dépoli de visée, mais à quel prix..? Globalement, le viseur est nettement moins confortable que celui des boîtiers plus anciens, surtout pour les bigleux comme moi. Mais c'est vrai pour toute cette génération, et pour la plupart des réflex numériques d'aujourd'hui !

Bientôt, à cet emplacement...

...un blog consacré au matériel photo, en annexe à mon blog quotidien.

Chaque entrée sera consacré à un équipement, du boîtier au flash en passant par les divers objectifs ; elles seront classées par catégories (cf. les libellés dans la barre de droite).

Souriez : le petit oiseau va sortir !